MdB Ulla Jelpke: EU-Innenministertreffen einigt sich auf humanitäre Schande

„Da werden Schutzsuchende an der EU-Außengrenze mit scharfer Munition beschossen, doch den Bundesinnenminister interessiert nur, ob die Grenze gesichert ist. Das ist einfach nur erbärmlich. Wasserwerfer, Tränengas, Blendgranaten und sogar scharfe Munition werden gegen Männer, Frauen und Kinder eingesetzt, deren einziges Vergehen es ist, den für Flüchtlinge katastrophalen Lebensumständen in der Türkei zu entkommen und ein Leben in Sicherheit in Europa zu suchen. Anstatt hier Abhilfe zu schaffen, stellen sich die EU-Innenminister hinter den brutalen Einsatz der griechischen Polizei und erklären, ‚man werde alle notwendigen Maßnahmen‘ zum Schutz der EU-Außengrenzen ergreifen. Der Ausspruch des Bundesinnenministers ‚Ordnung über Humanität‘ erscheint als Ausdruck eines gewissenlosen Bürokratismus, der bereit ist, über Leichen zu gehen“, kommentiert die innenpolitische Sprecherin der Fraktion DIE LINKE, Ulla Jelpke die gestern nach dem EU-Innenministertreffen abgegebenen Erklärungen. Jelpke weiter: „Wenn es um Abschottung geht, dann ist den EU-Innenministern das Recht plötzlich zweitrangig. Anders lässt sich nicht erklären, wie sie sehenden Auges die Genfer Flüchtlingskonvention mit Füßen treten, indem sie die Aussetzung des Asylrechts in Griechenland sowie illegale Pushbacks durch die griechischen Grenzpolizei nicht nur tolerieren, sondern durch Frontex sogar direkt unterstützen. Statt skrupelloser Abschottung muss Europa ein Zeichen der Humanität setzen. Es gibt ausreichend Platz und Kapazitäten die Schutzsuchenden aufzunehmen.“

Quelle: https://www.ulla-jelpke.de/2020/03/eu-innenministertreffen-einigt-sich-auf-humanitaere-schande/

JOURNALISTES INCARCÉRÉS EN TURQUIE: UNE ENTORSE À LA LIBERTÉ D’EXPRESSION.

Le droit d’exprimer librement ses opinions est la “Liberté d’Expression”; un droit fondamental pour nous les humains.
Cependant, pourquoi aller à l’encontre d’un tel droit et opprimée les porteurs de voix, les éclaireurs des Nations que sommes, nous les journalistes?
Seuls les régimes totalitaires et atypiques s’évertuent à enlever ce droit aux citoyens, en particulier les professionnels de médias.
Parce-que l’on veut tuer son chien l’accusant de rage, le tout puissant, numéro 1 turc Racep Tayyip Erdogan voit en toute la nation turque un danger, les mordus du chien, le prédicateur Fetullah Gülen, exilé aux États-Unis à qui il impute le putsch manqué du 15 Juillet dernier, visant à le renverser.
Accusés de “Propagande pro- Gülen” selon le Figaro, une dizaine de nos confrère journalistes sont mis aux arrêts par les autorités turques sous Erdogan après avoir assiégé l’armée, la police, la justice et l’éducation.
Parce-qu’il y a une soit disant tentative de renversement du pouvoir, les journalistes doivent regarder dans une seule et unique direction? Où serait donc l’impartialité dans l’exercice de ce noble métier.
Quel tort nos confrères ont-il fait en choisissant d’exercer ce droit pour établir la verté?
J’en appelle donc à la Communauté Internationale et a toutes les organisations et institutions de défense des droits de l’homme et des journalistes en particulier, à une mobilisation pour raisonner le tout puissant de la Turquie pour la remise en liberté de nos confrères journaliste et pour l’effectivité la Liberté de l’Expression dans ce pays et dans le monde entier.
Chers confrères journalistes luttons pour le droit de nos confrères turcs.

Kangni Coco LOCOH.