Ein Verfolgerstaat ist auch für Flüchtlinge nicht sicher

„Ich begrüße ausdrücklich die Erklärung von Staatsminister Roth, politisch Verfolgten aus der Türkei Asyl zu gewähren – auch wenn sie viel zu spät kommt. Doch damit sollte auch der Türkei-Deal hinfällig sein. Denn wie kann die Türkei noch als sicherer Drittstaat für Flüchtlinge aus anderen Ländern gelten, wenn deutsche Regierungsvertreter Bürgern der Türkei Asyl anbieten. Hier zwischen türkischen Staatsbürgern und Flüchtlingen aus anderen Ländern zu unterscheiden ist ein eklatanter Verstoß gegen die Unteilbarkeit der Menschenrechte“, erklärt Ulla Jelpke. Die innenpolitische Sprecherin der Fraktion DIE LINKE weiter: „Die politische und militärische Zusammenarbeit mit dem faschistoiden Erdogan-Regime muss sofort beendet werden. Denn die türkische Regierung hat selbst entscheidend am Aufbau dschihadistischer Terrorbanden in Syrien mitgewirkt und somit Millionen Menschen in die Flucht gezwungen. Diese Flüchtlinge benutzt Erdogan nun als Druckmittel gegen die EU. Diese Erpressung kann nur funktionieren, weil die EU Flüchtlinge nicht als Menschen mit Rechten, denen ein legaler Zugang nach Europa ermöglicht werden muss, anerkennt. Der Terrorstaat Türkei ist mit Sicherheit kein sicheres Herkunftsland.“

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Ulla Jelpke, MdB
Innenpolitische Sprecherin
Fraktion DIE LINKE.
im Deutschen Bundestag

Platz der Republik 1
11011 Berlin

Tel.: 030/ 227-71253
Fax: 030/ 227-76751
www.ulla-jelpke.de
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AVANCEMENT À RECULONS?

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Il ne suffit pas de s’égosier à cause du profit chez nos gouvernants au détriment du peuple pour dire sans honte aucune, «Le pays avance…il fait des efforts considérables…patati et patatata…».
Venons-en à la réalité, que font, nos dirigeants pour le peuple togolais? En quoi consiste donc l’avancement de ce pays rampant depuis des lustres et dépassé par tous? Où sont les efforts? Messieurs les intellectuels.
Est-ce seule la réussite de signature d’une Charte dite historique ou la participation à des rencontres internationales sans retombées évidentes pour ceux que l’on se dit représenter?
Ne dit-on pas que qui veut aller loin ménage sa monture? Qu’y fait donc la soit disant minorité dirigeante qui s’accapare les biens du peuple, Monsieur Fauré Gnassingbé à sa tête pour propulser la terre de nos aïeux?
Voyons les choses en face; nous ne criquitons pas pour critiquer. D’ingénieuses idées pour le développement de ce pays naissent tous les jours ou des projets de soutien à la jeunesse, relève de demain, non au profit de cette dernière mais plutôt de nos accapareurs.
Prenons l’Éducation; combien d’écoles en moyenne pour ce petit pays? Même pas une école construite ou aménagée par an, sans se référer aux écoles rurales à la merci du soleil, la pluie et des reptiles, où les tables-bancs sont carrément inexistants pour offir leur place aux parpaings. Pourtant les enfants y vont car la volonté d’apprendre y est. Peut-on appeler ça avancement ou effort? Qu’elles réformes fait-on pour pousser l’éducation dans ce pays? Que vaut l’éducation de nos jours au Togo, si la condition de vie et de travail de ceux qui doivent transmettre le savoir laisse à déplorer? Pourtant nous avons assez de millions empilés dans des mallettes que nos petits chiens, lâchement laissent aux soins des prostituées pour des séances de jambes en l’air et quoi, je ne sais encore.
Aujourd’hui le phénomène de vols et de braquages va crescendo et ce sont la plupart des jeunes désoeuvrés qui s’y adonnent car les projets qui leur sont destinés comme le FAIEJ, le FNFI et consorts, profitent plutôt aux familles et proches de nos accapareurs.
Et quelle considération avez-vous donc très chers dirigeants pour l’humanité au Togo? Au moment où vos enfants naissent, cuillère dorée dans la bouche dans des hôpitaux et cliniques de l’occident, ou dans des berceaux dorés des cliniques de luxe comme celle affectée au Sommet de Lomé si je ne m’abuse ou que même vos chiens sont envoyés en consultation vétérinaire en France, nos enfants à nous que vous piller pour vous enrichir naissent à même le sol dans nos hôpitaux d’État où conditions d’hygiène et de sécurité laissent à désirer. Hôpitaux où kits d’accouchement ou césarienne sont inexistants et même pas un scanner pour les pauvres patients. Même si nous ne pouvons manger à notre faim, ne pouvons-nous pas avoir une bonne éducation ou bénéficier d’un minimum de soins adéquats?
Le problème d’eau potable se pose avec acuité dans les milieux ruraux mais rien ne se fait pour venir en aide à ces populations laissées pour compte; pourtant l’eau minérale s’utilise pour la cuisine à la maison des gens de vos rangs.
Quelle image plaignez-vous de cette terre togolaise pour laquelle, le sang des aïeux de ce peuple que votre clan assujettit sans cesse depuis près de 50 ans, a coulé monsieur Faure Gnassingbé?
Comment voulez-vous que le peuple vous fasse confiance si son argent ne lui profite pas mais profite seulement à vous et aux membres de votre petit cercle de pilleurs?
Il y a quelques jours, vous venez te témoigner au peuple votre mauvaise foi envers les prescriptions de l’APG et de la CVJR en ne voulant guère opérer les réformes constitutionnelles et institutionnelles, les élections locales pour décentraliser ce pouvoir que vous avez arraché au peuple de force, en nommant encore de nouvelles délégations spéciales.
Jusqu’à quand allez-vous continuer par faire saigner la nation togolaise qui ne veut qu’un nouvel air, une nouvelle page pour son histoire?
Prenez conscience car assurément, le jugement divin vient et il faut que chacun se sonde par cette interrogation: Quelle place y aurai-je?

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Kangni Coco LOCOH.

JOURNALISTES INCARCÉRÉS EN TURQUIE: UNE ENTORSE À LA LIBERTÉ D’EXPRESSION.

Le droit d’exprimer librement ses opinions est la “Liberté d’Expression”; un droit fondamental pour nous les humains.
Cependant, pourquoi aller à l’encontre d’un tel droit et opprimée les porteurs de voix, les éclaireurs des Nations que sommes, nous les journalistes?
Seuls les régimes totalitaires et atypiques s’évertuent à enlever ce droit aux citoyens, en particulier les professionnels de médias.
Parce-que l’on veut tuer son chien l’accusant de rage, le tout puissant, numéro 1 turc Racep Tayyip Erdogan voit en toute la nation turque un danger, les mordus du chien, le prédicateur Fetullah Gülen, exilé aux États-Unis à qui il impute le putsch manqué du 15 Juillet dernier, visant à le renverser.
Accusés de “Propagande pro- Gülen” selon le Figaro, une dizaine de nos confrère journalistes sont mis aux arrêts par les autorités turques sous Erdogan après avoir assiégé l’armée, la police, la justice et l’éducation.
Parce-qu’il y a une soit disant tentative de renversement du pouvoir, les journalistes doivent regarder dans une seule et unique direction? Où serait donc l’impartialité dans l’exercice de ce noble métier.
Quel tort nos confrères ont-il fait en choisissant d’exercer ce droit pour établir la verté?
J’en appelle donc à la Communauté Internationale et a toutes les organisations et institutions de défense des droits de l’homme et des journalistes en particulier, à une mobilisation pour raisonner le tout puissant de la Turquie pour la remise en liberté de nos confrères journaliste et pour l’effectivité la Liberté de l’Expression dans ce pays et dans le monde entier.
Chers confrères journalistes luttons pour le droit de nos confrères turcs.

Kangni Coco LOCOH.